saynète érotique n°29

L'Allemande :

• Pour moi c’est très important si … s’il y a de l’harmonie entre les gens.
• Elle a dit ça aussi : j’ai jamais pleuré devant un garçon.
• Plus tard : C’est toujours moi qui part  la première !

On parlait jazz, politique. Parfois le silence suffisait. On faisait l’amour et l’on rêvait. Je l’ai caressé, elle était nue dans un champ de luzerne.

Une nuit, je l’ai léchée jusqu’à son plaisir. Elle eut bien du mal à étouffer ces cris de plaisir. Nous étions une demi-douzaine, filles et garçons à dormir dans une chambre commune. Elle ne voulait pas qu'on nous entende. 

Un jour elle est sortie nue de la salle de bain. Elle s’est agenouillée sur le lit : Encule-moi. Prends moi comme ça, sans rien. Encule-moi, défonce-moi, vas-y... aller, vient, vient !

Comment résister à cette folie ? Je l’ai prise assez durement en lui donnant des claques sur les fesses : Oh, encore, c’est pas vrai, fais-moi mal, vas y encore, frappe, frappe.

Quand je me suis retiré, son cul était tout marqué par les traces des coups infligés. Et il y avait quelques traces de sang sur mon sexe et sur sa rondelle sombre. Ivre de plaisir. Ivres de plaisir. Elle effondrée sur le lit. Moi, à genoux devant le lit, la tête posé sur ces fesses.

• Merci, putain que c’était bon.

 (…)

Après l'équilibre, et la folie des corps, il y a eu le mépris. Le sien. Elle ne voulait plus de l’harmonie. Elle ne voulait plus rien que le silence qui ronge tout.

Mais c’est elle qui a pleuré.

CdE